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10 octobre 2005 1 10 /10 /octobre /2005 00:00
Depuis ce week-end, cette question reste en suspens. Dove, Franck, J. S. et moi nous demandons : mais où est passé Alex R. ? Et surtout, est-ce que le brillant chroniqueur (et nons gros niqueur) made in SF existe vraiment ? Ne serait-ce pas un avatar supplémentaire du tristement célèbre J. A... ?
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6 octobre 2005 4 06 /10 /octobre /2005 00:00
J'ai croisé Dove hier soir... Il m'a tout dit. Tout dit sur ce J.A. Comme je le pensais, J.A. était fou ! Contrairement à ce qu'il vous écrivait il y a quelques semaines, il ne m'a pas rencontré en août... Mais il y a plusieurs années. Il m'a croisé un soir, dans un bar, et a tout de suite cherché à me ressembler. Bref !, à me piquer la place. J'ai aujourd'hui la preuve qu'il n'a pas uniquement pourri ma vie ces derniers jours. Des indices apportés par Dove démontre qu'il me suivait pas à pas depuis des années. Mieux... Il connaissait Julie et était là lors de son tragique saut à l'élastique.
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5 octobre 2005 3 05 /10 /octobre /2005 00:00
Un adepte du mensonge. Voilà ma réponse. Il est de bon ton de croire au premier abord les propos du "gentil"... Mais qu'en est-il vraiment de sa gentillesse ? N'est-ce pas lui qui, le premier, a cherché à m'assassiner ? Moi je compte vous parler de jalousie. Ce J. A., c'est le pendant "triste" d'Hector Dou. Celui qui n'a jamais réussi à aller au bout de ses rêves, de ses envies. J'ai vécu, j'ai connu des amours, des échecs, des espoirs, des désillusions... Enfin j'ai vécu. Et lui ? rien, le néant. Quand nous nous sommes rencontrés, fin août, j'ai découvert un être renfermé, sans rêve. Pas ou prou d'amis... A part ce Dove que je ne connais pas. Il s'est mis alors à vivre par procuration : reprenant mes histoires, mes passions à son compte. Moi, bonne âme, j'ai joué le jeu, lui donnant quelques idées pour alimenter ce blog, acceptant de jouer les Cassandre pour lui donner le beau rôle. Et puis un jour, le jeu s'est transformé en cauchemar. Il lui fallait tuer le père et récupérer les belles images, la belle vie en héritage. Il avait même réussi à calquer son style sur le mien : de la coupe de cheveux aux fringues, en passant par les intonations de voix et le goût pour les femmes... Lui qui n'avait jamais séduit personne se voyait déjà en Casanova de luxe. Vous vouliez que je me laisse faire, que je disparaisse pour lui faire plaisir... Non ! Nous ne sommes pas ici pour nous empoisonner l'existence. Il a tenté le coup et a échoué. Oui je m'en suis débarassé et alors ? J. S. a repris soi-disant le combat, Dove me poursuit... Ce qui me flingue, c'est que J. A. pourrait réussir son coup même dispparu : il a aujourd'hui le beau rôle, son blason est redoré, ses amis ont réapparu et moi, je vais disparaître.
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3 octobre 2005 1 03 /10 /octobre /2005 00:00
Croyez ce que vous voulez... Oui je suis un monstre. C'est si facile de juger derrière l'écran de votre PC. Mais sachez que le monde n'est pas qu'une succession de blancs et de noirs, sachez que l'on passe malheureusement d'un bord à l'autre en un claquement de doigts. En un claquement de destin. Tout roulait pour moi il y a quelques années. Même très bien... Et puis tout a basculé le jour où Julie m'a envoyé ce délicieux mail. "Si besoin, n'hésitez pas...", signa-t-elle sur ce premier message. Je ne sais si ce sont les points de suspension ou le charme de son prénom qui m'ont bouleversé, toujours est-il que j'ai fondu, m'empressant de répondre : "Attention, si vous insistez, je peux vous écrire toutes les 5 secondes !" Sa réponse ne se fit pas attendre : "Et pourquoi pas !" De là, commença une longue relation "épistolaire"... Troublante, passionnante et envoûtante. Alors que nous ne nous connaissions pas, nous nous somme tout dits. Nos secrets, nos envies, nos rêves. Et les points communs succèdant aux espoirs partagés, nous décidâmes de nous rencontrer. Elle avait choisi le lieu, une salle d'exposition. J'avais choisi la méthode, un sourire tout d'abord, un bonjour hésitant ensuite et une fuite éperdue dans l'amour pour finir. C'est ce que nous fîmes. Notre relation dura le temps d'une passion : éphémère... Et comme elle, fut intense. Nous nous aimions, me répétait-elle sans cesse. Je la rassurais. Elle, m'enivrait. Une sorte de donnant-donnant amoureux, de partenariat affectif sans limite. Les jours passèrent, les mois et puis plus rien. Un saut à l'élastique de trop... Une vie brisée pour elle... Une lâcheté méprisable chez moi. Et elle décida de disparaître, de quitter son corps morcelé, de m'abandonner à ma bétise. Je ne me suis pas tout de suite rendu compte des conséquences que pouvait avoir son geste sur ma vie... C'est bien après que je commençais à payer le prix de ma lâcheté. Au fil des ans, je suis devenu dur, insensible à la souffrance des autres, je m'enfonçais dans l'immoralité, couchant avec le mal autant de fois que je pouvais... Quand ce n'est pas le mal lui-même qui abusait de moi... Sans résistance. Ne jugez pas, ne jugez plus... Même si mes actes aujourd'hui peuvent paraître inexcusables. Mais que savez-vous réellement de J. A. ? Rien ! Et pourtant... Si vous saviez.
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29 septembre 2005 4 29 /09 /septembre /2005 00:00
C'est sans aucun doute la dernière fois que ce blog réagit. J. A. est mort... C'est simple et sans appel. Je ne l'ai pas tué, je vous rassure... Et aucun de mes soi-disant sbires ne l'a trucidé. J. A. s'est tout simplement suicidé, à bout de souffle après une course psychiatrique de trois semaines. J. A., tout comme Dove, Alex R. et même Hector Dou, n'existe pas. C'était un nom d'emprunt, une chimère de plus dans l'univers irréel créé par Jérôme S. Et moi, Hector pour vous, William pour mes proches, j'étais tout simplement son médecin traitant. Schizophrénie, paranoïa aigüe..., Jérôme présentait tous les symptômes d'un mal-être inguérissable. Il ne voulait plus vivre dans un monde d'aujourd'hui, selon lui, trop cruel et s'était donc réfugié depuis deux ans dans une dimension intérieure. Ses aventures avec Hector Dou n'étaient qu'une nouvelle étape vers la démence. Bien avant, d'autres avaient eu l'infime honneur de combattre J. A., héros dieppois s'il vous plaît : Arthus de Kerguen, José Esposito, Arkhan Tucep ou encore Hic Toc étaient de ceux-là. Des ennemis imaginaires, contrebandiers, chasseurs de primes, sorciers pour la plupart... J'en passe et des meilleurs. Sous calmants, après avoir attaqué une de mes infirmières, détruit une radio qui passait du Noir Désir et tenté de se suicider en enfonçant sa tête dans la cuvette des toilettes, J. A. s'est donc suicidé en se jetant du dernier étage de l'hôpital psychiatrique où il résidait depuis 18 mois. William R. Dou
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19 septembre 2005 1 19 /09 /septembre /2005 00:00
Mais que se passe-t-il dans la tête de J. A. ? Il a suffi d'une semaine, une semaine pendant laquelle j'ai profité de la tranquillité polletaise, pour que J. A., mon grand ami J. A., perde la raison. La semaine dernière, tout allait bien. Nous nous étions croisés dans l'escalier, nous avions échangé quelques propos sur la religion avant de nous dire adieu pour quelques jours de repos mérité. Je reviens et découvre sur ce blog les délires de J. A. Non il n'a pas tenté de m'assassiner, non je ne suis pas tombé dans la Seine, non je ne suis pas revenu d'entre les morts... Quant à l'existence d'un monstre qui me ressemblerait, nous frôlons le ridicule. La folie même ! Aujourd'hui, son appartement est vide, le mien a été saccagé... Sans doute par ses bons soins. Si quelqu'un a de ses nouvelles, notamment ce mystérieux Dove, qu'il me contacte. C'est une question, à mon avis, de vie ou de mort. J. A. délire, atteint d'une crise aigüe de paranoïa ou de schizophrénie... Je n'ai rien à me reprocher et ne cherche que son bonheur. Contactez-moi... Je n'ai qu'un souhait : le rencontrer, l'aider, le pouponner !
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11 septembre 2005 7 11 /09 /septembre /2005 00:00
C'est de ma retraite dominicale que je viens à vous. Perturbé. N'ayant pu me lever ce matin, un trop plein d'eau bénite sans doute, j'ai regardé la messe sur France 2. Quelle belle invention que cette télévision ! Entre la Star'Ac vendredi soir, le Top 50 du rire samedi soir et les émissions religieuses du dimanche matin, la joie entre partout. Dans nos salons, nos maisons, nos coeurs... Et n'est-ce pas là l'essentiel, aimait à me rappeler l'abbé Michel le soir avant de quitter la salle de catéchisme, sa soutane toujours pleine de surprise... Enfin ce sont de vieux souvenirs. Lui est décédé récemment : une vilaine maladie contractée dans un bordel de Manille. Il avait changé. Chauve, la boucle d'oreille affichée, il se voulait plus libre. De quoi vexer son assistant, le père Depaire : un unibouliste proche de la fraternité saint-pie X qui croyait à l'ascèse et à la rédemption. C'est donc avec foi que j'ai commencé cette belle journée avant, l'abus d'eau bénite s'apaisant, de me rendre au marché. Quelle foire à tout mes amis ! Toutes ces couleurs, tous ces produits réunis pour satisfaire nos estomacs et alléger nos portefeuilles, preuve que le seigneur nous entoure et nous aime... Même à Badgag, quand il n'y a pas de tirs de roquettes de vilains enturbannés, les marchés sont riches. Preuve, encore une fois, que le seigneur aime vraiment tout le monde. Si si mes amis, Dieu est là... Mais ce midi, j'ai croisé JA, cet ignoble voisin qui pense... Ô sainte Mère, je n'ose le dire... Qui conspue Dieu et les siens. Dans l'escalier, à la vue de ma jolie croix de baptème, il m'a crié des ignominies. Que Dieu est un retraité à la barbe non pas blanche mais grise. Un retraité qui joue en bourse, qui déteste ses voisins, qui gueule après eux s'ils font trop de bruit passé 20h30... Bref que Dieu est un vieux con comme tonton Charles. Dites moi qu'c'est pas vrai ! Dites moi que c'est pas le genre de type à aller à la fête de l'Huma pour jeter des oeufs à la face de tous.
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8 septembre 2005 4 08 /09 /septembre /2005 00:00

Nous entrons enfin dans le vif du sujet : le Pollet. Pour ceux qui depuis quelques jours, s'interrogent sur ce quartier de Dieppe, se demandant s'il s'agit d'une nouvelle île des gauchers, je réponds : il n'en est rien ! Le Pollet existe, en voici la preuve : le pont tournant. Parce qu'il faut savoir que Dieppe, c'est aussi deux ponts : celui qui lève et celui qui tourne. Si le premier ressemble à un berceau renversé, limite stalinien, le second est signé Eiffel. Et ouais... Ça assure ! Pour aller de Dieppe au Pollet, il faut traverser ces deux passerelles. En gros, rejoindre ce quartier de pêcheurs, c'est un peu comme partir à l'aventure, s'enfoncer une centaine d'années en arrière. Revenir au temps des pêches aux gros, sur les bancs de Terre-Neuve. J'imagine que les Fécampois vont hurler aux loups ! Mais non, le Pollet, c'est LA pêche. Cette manière de vivre sa ville, de rentrer chez soi en mobylette, de viser les passants au gros sel, de se murger à chaque retour de mer... De déclarer sa flamme à tous ses potes. Le Pollet, c'est les Gobes (nous reviendrons une prochaine fois sur ce sujet), le PCF, la Mélie, le "Mieux ici qu'en face"... Bref, c'est... enfin... Y a pas de mot pour dire ce que c'est.

 
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6 septembre 2005 2 06 /09 /septembre /2005 00:00
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